Parcours N°3 : Trigonométrie sacrée

Objet : Visite des temples du triangle sacrée de l’Attique.

Le Parthénon Athènes, le sanctuaire de Poséidon au Cap Sounion, le temple d’Aphaïa sur l’île d’Egine.

Trigonométrie sacrée :

A travers ce parcours, je vous propose d’aborder un sujet qui, encore de nos jours reste sans explications significatives, sans réponses techniques tangibles ; Il s’agit d’un réel mystère de l’antiquité ; Peut-être un message aussi ! C’est le constat stupéfiant, irréfragable, d’une réalité géométrique inscrite ; D’un fait manifeste des plus énigmatique…

Pourquoi chercher à connecter les temples et autres sanctuaires entres eux par des figures géométriques précises à l’échelle du territoire ? Comment ont ils bien pu réaliser cela ?! Qu’est-ce que tout cela signifie en terme de sens et de connaissance ? Il y à t’il une volonté de reproduire sur terre l’organisation des étoiles et des astres ? Pourquoi ont-ils cartographiés le ciel ?! Pourquoi créer des constellations ?!. Pourquoi mettre en relation le ciel et la terre ?!. Sommes nous lié ?!… Avoir le courage de se poser la question, c’est déjà avancer ! Mais jusqu’où sont allés nos ancêtres ?!.

Forcé d’admettre, que tant de précision ne peut être anodin ; Bien modestes nous sommes face à cela lorsque nous le considérons acquis… Nous ne pouvons que nous estimer biens trop petits au regard de nos préoccupations modernes, lorsque nous réalisons que ceci provient de loin, que ceci est de ce fait notre héritage, autant mystérieux que précieux !

Aphaïa ou Aphéa (en grec ancien Αφαια / Aphaia) est une déesse préhellénique de la lumière. Aphaïa est identifiée à la nymphe crétoise Britomartis. Artémis sa sœur veillait sur elle. Très belle, elle fut sans cesse poursuivie par les hommes. Minos la poursuivit, mais elle tenta de lui échapper en se jetant dans la mer. Elle fut recueillie dans les filets d’un pêcheur éginète. Ce dernier tomba amoureux d’elle à son tour. Britomartis en appela à sa demi-sœur qui la fit disparaître : elle devint alors Aphaïa, l’« Invisible »… Le temple serait construit à l’endroit de sa disparition. Elle est la patronne de l’île d’Égine. Le temple lui est consacré, dédicacé, le temple est l’un des mieux conservés de toutes les îles grecques. Le temple d’Aphaïa est installé au sommet d’une colline où l’on rendait, à partir du XIII^e siècle avant notre ère, le culte à la féminité, en hommage à une déesse-mère.